Jour 5 et 6 : journées geek/otaku

jour 5 : Akihabara

Peu d’intérêt pour vous mais pour nous ça veut dire beaucoup. Akihabara est donc le quartier pour les fans de jeux vidéos et mangas. Pour souvenir cf les liens suivants :

http://www.visiter-japon.fr/?p=151

http://www.visiter-japon.fr/?p=68

Jour 6 : MoMAT et Odaiba

Le réveil fut… comment dire… inhabituel. Nous avons été réveille par un tremblement de terre. Donc tu dors et puis tu te réveilles dans un train couchette. Ca a du durer 2 minutes mais c’est bizarre. Rien de grave puisque rien n’est tombe et que notre hôte nous dit que ce n’est rien.

Donc ce matin, direction le MOMAT (musée national de l’art moderne du japon). Un peu de culture, ça fait du bien. Bah… c’est sympa mais bon… c’est vite fait… c’est tout de même poignant quand on voit des choses sur Fukushima.

Ah tiens! il y a un autre petit ticket bleu au bout de notre grand ticket du musée. Mais c’est quoi ? Youhouuuu un autre musée ! Tigada tigada… on l’a trouve : musée de la poterie, faïence, kimono, boite japonais… très jolis mais la encore une fois c’est du rapide… voir très rapide car ça n’a pas pris qu’un quart d’heure.

Bon direction la gare de Tokyo. En travaux il y a 4 ans, on va pouvoir enfin la voir. Apres une bonne balade, la voici. Elle est en briques rouges et d’inspiration de la gare centrale d’Amsterdam. Bon Bah du coup on connait… c’est vraie quelle est grande.

Maintenant, droit vers Odaiba. C’est une ile artificielle, lieu de shopping, de technologie et de loisirs. Nous en avons profite pour faire un tour a new york pour voir la statue de la liberté et manger un burger dans un resto hawaïen en face. Burger a l’avocat pour monsieur et a l’ananas pour madame. Un régal !

Et une salle énorme de bornes d’arcade en tout genre mais aussi des practices de golf, bowling, base ball, ping pong, billard, foot.

Bon bah la, c’est le festival du jeux et on s’est bien amuse, look at the pictures.

Et le soir retour a Shibuya sous la pluie pour manger notre okonomiyaki miam miam

okonomiaki

Jour 3 : Todoroki keikoku et Gotoku-ji

Aujourd’hui direction la coulée verte, todoroki keikoku. Mais avant petit pique nique avec des mets locaux. Petit tour dans les boutiques pour acheter notre manger. Les deux étaient tenues par des mamies de 70 ans au moins. Elles ont la patate et sont trop rigolotes. Nous voila prêts pour affronter ce petit coin de verdure au milieu de la ville. C’est plus « sauvage » que les parcs et on longe une petite rivière. Ca doit faire un kilomètre. Rien d’exceptionnel mais c’est sympa a faire. Au bout il y a un temple avec un petit stand pour se ravitailler de cette dure expérience.

Puis on enchaine avec 30 minutes de bus pour aller a Gotoku-ji. C’est temple qui est a l’origine du Maneki neko, le chat blanc a l’entrée des magasins. Il s’y trouve un autel rempli de petits chats. On a bien sur fait la petite prière pour Tigrou et tous les chats qu’on connait. Et ce coup-ci pas de gong a faire sonner mais un grelot géant que j’ai bouger avec grand plaisir :)))

On a rencontre un couple de japonais qui adore la France. Ils y ont été 30 fois et ils ont visite toutes les régions. Elle s’est présente a la japonaise mais en français, ça fait bizarre. Puis elle nous a explique la légende du chat qui s’est installe en deuxième position dans les signes astrologiques. Les gens que l’on rencontre sont contents de nous parler en anglais ou en français. On nous dit « sorry » plutôt que « sumimasen »… mais nous on veut pas. Qu’on nous parle en japonais !!!! … oui je sais c’est gentil mais bon.

Vient le temps de la question : « qu’est-ce qu’on mange ? » Direction le supermarket et nous voila partis pour cuisiner des pates vermicelles avec une préparation et de la viande de boeuf. Très bon ! On a découvert un super marche de dingue qui donne envie de tout. Donc un apéro avec des boules soufflées au gout de beignet de poulpe et l’alcool de prune. Apres le diner direction shibuya pour boire un verre dans un bar (mojito et gin tonic)

Jour 2 : Tamagawa Daishi

Allez, le voyage commence. On est a peu près cale sur les heures et il fait super beau donc en avant la musique (expression désuète dont certains apprécieront la valeur).

Direction Tamagaya Daishi grâce au train (ou subway) pour visiter le temple bouddhiste. Alors le train on gère, par contre de la gare au temple, beaucoup moins. Mais demander le chemin ne nous fait plus peur AH! AH! et oui nous savons demander en japonais… le problème c’est que du coup, ils enchaînent la réponse en jap et la c’est chaud l’asticot (autre expression). Si la destination est proche, no problemo (encore une expression) par contre s’il y a 10 minutes, c’est mort. Bref première demande a la sortie de la gare : OK, c’est par la. Deuxieme demande a une dame, ça a l’air complique donc elle fait un bout du chemin avec nous, demande le chemin a un ouvrier puis nous indique la direction : OK c’est par la. Une carte YOUHHHHOUUUUU !!! mais tout est en japonais, moins youuuhouuuu parce qu’il y a plusieurs temples. Bon au pif, on va a celui-la.

Grosse hesitation une fois devant mais une maman avec sa fille sont devant et vont y entrer. Elle nous dit que c’est bon YEEAAAHHHH c’est kiki les plus forts !! C’est parti mon kiki, on sort l’appareil photo… ah bah non elle revient, c’est pas ici. Elle s’excuse mille fois et décide de nous guider. Donc elle demande le chemin a deux autres dames qui nous y emmènent. Et la sortis de nul part leurs enfants, un ptit gars et une petite fille qui sortaient de l’école. Ils sont trop mignons avec leur uniforme et leur chapeau. Nous les suivons donc jusqu’au temple. Il n’est pas grand mais les différentes divinités y sont. De belles statues, une immense et majestueuse, des tortues, un gros caillou, un gong et l’objet de notre venue le passage souterrain.

Une fois, dans le temple, nous trouvons le petit escalier pour aller dans le souterrain qui symbolise le passage a travers les intestins de bouddha. Nous payons l’entrée 100¥, écrivons notre nom sur la feuille, chaussons les sandales en plastiques. Chausser est un bien grand mot pour l’homme parce que ses pieds sont trop grands et ne rentrent pas dedans, ce qui a bien fait rire la guide. Ce circuit a un nom pour la religion bouddhiste mais je ne l’ai pas retenu. donc on descend dans un tunnel sinueux et dans le noir. Rien on ne voit rien et on doit se guider avec la main droite le long du mur. Le chemin serpente pour arriver dans différentes pièces avec plein de sculptures de divinités. Il y a 88 bouddha et 4 pièces. Dont une avec le bouddha sur sont lit de mort. Nous avons fait sonner des bols tibétains, fait des prières pour tout le monde, mis notre pièce et sonner le gong. Ben le noir complet ce n’est pas très rassurant.

Ensuite, on en profite pour faire les autres temples et sanctuaires. Puis nous sommes tombes sur une école maternelle. C’est trop mignon ! On entendait la maitresse et les enfants chanter, jouer et parler.

C’est a ce moment que le double effet kiss cool du décalage horaire est venu. Une grosse fatigue. Mais bon direction Tamagawa Takashimaya le shopping center de luxe… bon en fait c’est pas notre truc, on va a celui d’en face pour voir les boutiques pour la maison. Et la, trop bien, le monde du bento. Y’en a plein et tout ce qu’il faut !!! Ya tout dans ce magasin un peu comme Babou mais en mieux et en plus riche.

Retour a la maison pour se restaurer puis on repart en bus, suite au conseil de notre hôte, a Shibuya. Découverte d’une boutique de dingue, c’est inexplicable mais c’est le monde du geek et de l’otaku branche. Et enfin direction le game center pour jouer du Taiko, c’est mon jeu préféré, et faire des purikura. Il est minuit, il faut rentrer cendrillon…

jour 1 : le tour du quartier

こんにちはみなさん

Oulala que cette journée est fatigante. Le jetlag se fait sentir.

Premières choses a faire : UNE DOUCHE et se BROSSER LES DENTS !! un bonheur, une renaissance

deuxième chose : donner des nouvelles, on est bien arrive tout ça tout ça… ooohhh toutes ces belles photos qui nous mettent en valeur. Certains y verront des clins d’oeil.

troisième chose : ravitaillement. Découverte du supermarket et notre premier カレー (curry japonais)

quatrième chose (déjà 4, c’est fou !) : un petit tour du quartier de Setagaya. C’est un quartier résidentiel très calme et assez chicos. La rue principale est super jolie avec tous ces arbres en fleur. Les petites rues sont aussi mignonnes le unes que les autres. On a découvert un nouveau marquage au sol (non pas des ronds points mais des croix ou des T), une famille qui nous poursuit, un dentiste qui donne envie, du français, le premier torii, les コンビニ (seven eleven, family mart,…)

cinquième chose : une siesssttteeee…

et passer une petite soirée pour se préparer pour demain. Apéro avec grignotage local et alcool de prune, balade nocturne et au lit.

Enfin arrives !!!

Ayeeeaaaahhhhh on est arrives.

(desolee mais il n’y a pas d’accents sur notre clavier donc faut faire avec)

Apres un départ retarde de quelques minutes, nous avons profite de ce superbe avion qu’est l’A380 jusqu’a Dubai. L’escale n’a dure que le temps d’un changement d’avion. Oui bon, faut préciser que l’aéroport est GIGANTESQUE !!! Pour prendre le nouvel avion, on a marche sur des tapis roulants, pris des ascenseurs, un métro interne, un bus qui a du faire le tour de la Terre et hop dans l’avion. Puis o joie, o bonheur, il était a moitié plein. Trois places pour 2, du bonheur !

Nous voici donc arrives a l’aéroport d’Haneda a 23h un samedi soir. Comme d’habitude, les contrôles et la réception des valises se font super vite. Elles sont même la avant nous. Direction le subway pour nous rendre a Shibuya et trouver un endroit ou dormir. Il est donc 1h du mat, les gens sont déjà bien alcoolises mais dans la bonne humeur.

Le dernier recours de la derniere chance : un MANGA CAFE !!! C’est une solution très connue des tokyoites. Ce sont des cellules pour internet, lire des mangas, regarder la tv, jouer a la console, prendre une douche et manger. Une sorte de dortoir, hôtel limite a 5h.

Et voila notre cession de 5h achevée, il est 6h30 du mat et notre journée commence ou s’achève… on sait plus trop. En tout cas, c’est l’heure du ptit dej’… zouuuu au Starbuck face au crossing road, étonnement vide. On est donc reste 1h30 a regarder passer les gens et la circulation. Attention, la découverte du jour, il faut savoir qu’il y a ici des volontaires pour nettoyer le quartier qui a encore la gueule de bois. Ils viennent seul, avec des amis ou en famille pour ramasser les déchets jetés la veille par les fêtards. Et oui, un dimanche matin a 7h !!!

En tout cas, nous sommes maintenant dans notre petit appart a Setagaya. Il est top avec tt ce qu’il faut.

Koya-san et Koya-kun

Nous voilà partis pour dormir au mont Koya, la montagne des temples bouddhistes. Départ Osaka : métro, train et funiculaire. Le funiculaire, c’est un train avec un angle d’inclinaison d’environ 50°. Donc tout est penché. Enfin c’est bizarre parce que dedans on est pas perpendiculaire à la voiture (cf photos).

Donc nous voici donc à 850 mètres d’altitude sous une chaleur de dingue. Dépôt des bagages dans l’hôtel du temple et en route pour le sanctuaire. Après 10 minutes de marche, nous voici à l’entrée avec comme accueil la scuplture commémorative de la seconde guerre mondiale. Bon ça nous chafouine un peu parce qu’ils étaient pas du bon côté. Et chaque fois on se dit « mais pourquoi ils ont été avec les allemands ? Est-ce pour le sens stricte de l’organisation ? Est-ce qu’ils savaient vraiment le fondement de la chose ? » C’est un mystère de notre lacune en histoire pour cette partie. On a déjà croisé des punk avec la croix gamée (je dis « des » mais ça doit être 2),on a croisé aujourd’hui un gars habillé en uniforme nazi dans les rues d’Akiabara, on la retrouve parfois dans des boutiques mais on se demande vraiment s’ils savent ce qu’elle représente. Faut dire qu’ils utilisent la même inversée pour représenter les sanctuaires sur les plans ou sur les panneaux… Oulala je me suis égarée dans une réflexion, revenons à nos moutons : LE MONT KOYA !!!

Je disais donc que nous voilà arrivés au sanctuaire, il doit faire 2 km. C’est juste un endroit magnifique. Oui c’est un cimetière mais c’est beau. On a mis 1h20 pour arriver au bout. La raison : c’est beau et donc élo fait des photos (spéciale dédicace à Aurélie N.) Tout le long du chemin, il y a des Jizo-sama (dieu protecteur des enfants) avec des petits bavoirs, des bonbons (m&m’s) et des jouets, des tombes de samouraïs et de gens (je dis « tombe » mais ce sont juste des plaques, les bouddhistes incinèrent les morts), des mausolées, des mini temples, des torii en pierre… on se croirait dans un endroit féérique… enfin tant qu’on ne se fait pas chasser par des moustiques. Ils sont étranges, tout noirs avec des points blancs et teigneux avec ça. Même le pchit à moustiques les repoussent pas… ils ont la dalle ! Mais cette lutte acharnée a cessé après une prière dans un mini temple.

Ouverture de parenthèse (

Mode d’emploi de la prière :

1- la purification : à l’endroit du lavoir, prendre la louche et se rincer la main gauche, puis la droite, puis la bouche, puis re la main droite avec la laquelle tu as mis l’eau dans ta bouche… ayé t’es prêt 🙂

2- la prière : Lancer une piècette dans la grille en bois (tu mets ce que tu veux de 1 yen (càd 1 centime) à … yens) fais sonner la cloche et claque deux fois dans tes mains… maintenant prie.

Fermeture de parenthèse )

Me voilà donc en train de prier :

« merci de nous protéger des moustiques, que la journée se passe bien, j’envoie une pensée à tout le monde : je vous aime »

Et ben croyez-le ou non, fini les moustiques !!!

paysage sonore du sanctuaire : http://youtu.be/As6mcALmxBY

Au bout du chemin, se trouve le temple des lanternes. Il y a 3000 lanternes d’allumées (je crois), une flamme qui ne s’éteint pas et 45 000 petits bouddhas. C’était très jouli. Nous voilà repartis parce que le dîner est servi à 17h30 (oui oui le dîner pas le goûter). Temps du trajet retour : 20 minutes soit une heure de moins qu’à l’aller…. mouais y’a du y avoir un trou temporel, en même temps on est passé deux fois à côté de la pierre qui est connectée avec le bouddha du futur… ça laisse perplexe.

Mmmmmmm miam miam le repas végétarien bouddhiste… bon alors pour un palet fraîchement sorti de France ça doit être BEURK mais nous on s’est habitué et on a trouvé ça bon. Sauf le dessert de pâtes froides avec un glaçon et une sauce bizarre.

Il est 19h et on va se connecter à internet quand un des hôtes nous dit qu’il y a la fête au village : « drink, food, music, dance, game and beeeerrrrr » nous dit-il avec un grand sourire et aussi que c’est une grosse fête seulement ce soir. Chouette, Trop de la chance que ça tombe aujourd’hui, vite allons-y vite parce que les douches ferment à 22h. BBAAAAMMMM vlà la teuf de OUF !!! (parlé du 9-3 qui nous manque un peu ) Y’a au moins… pffff 8 ou 10 stands à tout casser et pour la partie danse, c’est une choré traditionnelle autour d’un poteau au son d’un chanteur, d’un fond musical et d’un taïko. C’est petit mais on a quand même apprécié par contre au bout de 45 minutes on est parti.

vidéo danse : http://youtu.be/oaZ3ugAzR7Y

Il est 22h30, la douche est prise, on a fait notre calligraphie, nos futons sont prêts et demain on doit se lever tôt car la prière est à 6h30. Allez zou ! Coucouche panier les papattes en rond !

Piipitada pidipi (musique du réveil) 6h15.

Les yeux au milieu des joues et la tête dans le pâté, on se rend au temple. On a quelques secondes de retard mais c’est bon. Ouf on trouve 2 chaises au fond, oui « ouf » parce que 30 minutes sur les talons, ça fait mal ! On entend des boum boum boum, ce sont des bruits de petites foulées de deux jeunes filles qui viennent de se réveiller et qui sont en retard pour la cérémonie. Trop rigolo, elles sont en pijouze et y’en a une qui se met des gouttes dans les yeux parce qu’ils collent encore. 10 minutes plus tard, ce sont 2 anglaises qui arrivent en pijama mais là c’est en débardeur de nuit pour l’une et micro short pour l’autre (un peu abusé). La cérémonie commence et nous voilà bercés par des MMMMmmmmm ANABAMMAAAMAMMMMM, des entrechoquements de cimballes qui vibrent et des tintements du gros bol tibétain. L’odeur de l’encens nous transporte dans un état second. Cela dure une demie-heure et on nous emmène dans un autre temple pour la cérémonie du feu.

Et là, grosse poilade de voir les deux anglaises en pijouze dans la rue à 7h du mat’ :))

Nous voilà donc assis autour de l’autel-cheminée. Le moine commence son rituel lorsque le deuxième moine frappe sur un énorme taïko à 2 mètres de nous et se met à chanter. Les vibrations et le son sont impressionnants. Tout va bien, jusqu’au moment ou le moine allume le feu et qu’on se rend compte que ce n’est pas une hotte au plafond mais une protection pour le plafond. Donc une fumée de dingue qui au bout d’un moment pique les yeux. Mmmmmm on va sentir le feu toute la journée ! La cérémonie a duré 30 minutes.

Le reste de la matinée on a visité la ville et le plus gros temple avec des jardins de cailloux magnifiques. On a même eu le droit à un thé vert tiède pas bon et un gâteau plastique sucré lorsque nous sommes arrivés dans la tea room où un moine faisait une conférence.

C’est une ville qui vaut le détour car c’est vraiment beau, des pagodes de dingues, des endroits féériques, de beaux temples et le petit moine Koya-kun qu’on voit partout car c’est le guide et la star du village.

Retour pour Osaka dans l’après-midi dans le quartier IN… le contraste est net et précis. C’est qui nous plaît au Japon 🙂

C’était Elodie en direct du train Osaka-Tokyo, direction finale pour nos deux dernières nuits. Pffff on est deg’, on en veut encore !!! Merci aux courageux qui ont réussi à lire cet article très long et je vous dis : « Sumimasen, kono densha wa nanji ni Tokyo tsukimasu ka ? » traduction«Excusez-moi, à quelle heure arrive le train à tokyo ? » et oui on ne le sait toujours pas car le train partait 30 secondes après notre arrivée, vas-y trop de la chance !